Vie de quartier, L’Écran éducatif des rues


L’écran éducatif des rues

l’Association a déployé ses ailes !

31 aout 2017 L’Écran éducatif des rues s’est transformé, le nouveau nom de l’Association :

Rainbowmakers

dont l’écran éducatif est une des actions programmées.

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En PDF, écran pilote

avec un site tout dédié au soutient éducatif : lecraneducatifdesrues.com

NOUVEAU : un site dédié au soutient des adultes pour leurs montages de projet : coaching-montage-de-projet.fr  avec aide à la création de sites internet, à vous de jouer, on vous attend.

 

 

Copie de l’Objet JO, 2017 : Actualisation 

JO_2017

Cette association a pour but:

« La protection de la nature et de la biodiversité. »

Proposer des actions sur le thème de l’éducation au développement durable, créer des jardins éducatifs en faveur de la biodiversité ; L’aménagement du paysage, y compris toutes formes d’animations permettant la participation citoyenne, des artistes, des enfants ou de toute personne, librement, ou comme auditeur, ajoutant ainsi au principe éducatif par l’aspect ludique participatif ; Création, réalisation et vente d’outils et de concepts éducatifs participant à la transition verte ou au développement durable y compris des prestations événementielles et aménagements paysagers dans le cadre artistique et éducatif des productions du projet Rainbowmakers ; La création, la vente et l’installation de fontaines et de brumisation fait parti des prestations de l’association ; Plus généralement, toutes opérations pouvant se rattacher directement ou indirectement à l’objet de l’association et à tous objets similaires ou connexes pouvant favoriser son extension ou son développement ; Elle inclus dans son activité l’éducation aux minéraux et peut vendre des pierres semi-précieuses ainsi que tout bien ou service qui servent son but, au bénéfice de l’association par le biais de sites internet qui seront dédiés ; Elle pourra agir, directement ou indirectement, pour son compte et pour le compte de tiers, participation ou avec toutes sociétés, personnes, personnes morales, et publiques et réaliser, directement ou indirectement en France ou à l ‘Etranger sous quelque forme que ce soit, les opérations rentrant dans son objet et toute activité non réglementée, dans le cadre artistique qui rentre dans ses attributions ; Elle pourra fédérer autour de la nature toute sorte de spectacles, représentations et installations locatives ou pérennes et compris des projets innovants et non réglementés, en restant dans un cadre légal ; la protection de la biodiversité et l’éducation à l’environnement sont ses buts fondamentaux. L’éducation, l’animation, la participation et l’aménagement sont les moyens adoptés pour atteindre ces buts.

 

 

 

 

L’ÉCRAN ÉDUCATIF :

 

Journal officiel 2014

Copie de l’Objet JO, 2014, qui reste une partie de l’activité des associés : 

Proposer un écran sur le thème de l’éducation à la libre programmation des habitants dans le cadre de documentaires sur le thème éducatif. Créer de la cohésion sociale autour du thème éducatif. Créer des rencontres dans les quartiers et améliorer la vie des quartiers. Inviter les retraiter à s’investir dans les programmations en favorisant ainsi la transmission inter-génération et créer une animation pour les plus vieux. Inviter les écoles en sortie de classe par la libre participation des associations de parents d’élèves de chaque quartier et proposer un éventuel accueil des plus démunis à des horaire dédiés (par exemple lors de petits déjeuner formations pour SDF organisé par les associations s’occupant de leur condition de réinsertion). Dans un cadre libre et autonome local et dédié aux problématiques propres à chaque quartier et à chaque ville ainsi que pour l’orientation professionnelle des jeunes liée aux besoins de chaque ville.

 

TEXTE 

L’écran éducatif des rues version adaptée pour une première année, qui permette de faire connaitre l’association dans son quartier et en attendant la participation de tous citoyens, la mise en place harmonieuse de la participation en tant qu’ ‘invités’ des retraités de la maison de retraite la plus proche de l’écran et des écoles environnantes.

Le processus de lancement doit permettre dans un premier temps de créer la synergie nécessaire entre l’école et la salle municipale de rencontre et de soutien local de l’école pour la mission de transmission du savoir dans le cadre de la participation citoyenne et en favorisant par le faite des premiers participants, la transmission inter-générationnelle au coeur même des quartiers.

 

 

Résumé, la salle du 17ème à Paris.

 

I. Quoi ? Pourquoi? Quels Objectifs ? Pour qui? Quand? Où? Comment?

Des besoins : cohésion sociale locale, revalorisation du thème éducatif, lutter contre l’isolement, accès à l’éducation des plus démunis.

Souhaits répondant au besoin : créer un lieu d’échange autour du thème éducatif, de rencontre et de partage pour le quartier, soutien des élèves en difficulté.

Objectifs : Une salle ouverte à tous les publics ouvert pour la programmation de documentaires en libre accès. Des échanges intergénérationnels possibles et des rencontres autour de sorties de classe entre les retraités et les enfants. Un lieu pour le quartier pour se réunir autour du thème de l’éducation.

Les publics concernés : les enfants des classes, et en dehors des sorties scolaires en famille, les retraités désireux de participer à l’éducation des jeunes. (Les petits déjeuner SDF matin-bonheur verrons un accueil de l’ouverture à 11h45 tous les lundis avec petit déjeuner offert contre coaching personnalisé obligatoire. Horaires dédiés ou les thèmes les plus porteurs pour le retour à l’emploi peuvent être exploités avec la participation des bénévoles).

Contribution, moyens humains : des stagiaires bénévoles estudiantins et les membres actifs de chaque association  Tohovia et l’Écran éducatif jumelés à Paris avec le parrainage d’un dispensaire avec écran éducatif au Bénin, sont réunies pour aider les enfants à Paris sur ce thème. Les associations de parents d’élèves sont des contributeurs bienvenus dans les cadres du bénévolat associatif pour les sorties scolaires. Les retraités du quartiers seront concertés en septembre et encouragés à nous apporter leur aimable contribution. Le projet et l’animation du lieu est à la charge du bureau et dans le cadre de la collaboration avec Tohovia active par le faite des bénévoles qui accompagnent les enfants pour l’aide aux devoirs depuis mai 2013.

IMG_1255Projets d’actions :

           •          Rencontres entre maisons de retraite et jeune public (sorties de classe organisées avec les associations de parents d’élèves du groupe scolaire concerné.

           •          Intervention d’associations partenaires, fédération d’associations liées au mieux vivre ensemble et liées au thème éducatif : le mal des mots, association intervenante, pour sensibiliser les jeunes  au phénomène d’exclusion dans les milieux scolaires, Tohovia, marraine : qui sensibilise aux problèmes des enfants du Bénin et reçoit le soutien pour l’humanitaire, de l’écran éducatif des rues qui organise dès novembre un premier événement dans le 17ème (à but lucratif pour la création du dispensaire au bénin) Ce premier événement sera : un vide grenier organisé par l’association. 

           •          Un partenariat en discutions, groupe de théâtre  (tourné vers un public adolescent) : pour aider l’insertion professionnelle, éducation à la prise de parole. Par le biais de cours de théâtre avec mise en scène de l’entretien d’embauche et peut-être des difficulté rencontrée ensuite au travail… Ces mise en scène et cours de théâtre sont conçus pour permettre aux jeunes d’appréhender avec conseil de recruteur leurs entretiens et leur futur travail avec force conseils d’ainés locaux.

           •          Un premier contact permet d’envisager une possible participation de divers associations locales pour les aides spécifiques.  Nous avons déjà rencontré à l’Espace brémontier l’association socio-culturelle : A tout cour, alphabétisation (1997), Ainsi que « la fabrique des petits hazard », Lycée, collège, primaire pour le handicap, et Peace and love des femmes du 17ème, qui sont à proximité et peuvent bénéficier de rapports solidaires dans le cadre de leur participation.

           •          l’assoce : enfants du 17ème (animateurs de la ville de Paris), propose d’animer des événement et animation pendant les vacances scolaires pour les enfants qui ne peuvent pas partir en vacances.

           •          Ouverture aux associations concernées par la problématique transversale éducation, accès à l’éducation des plus démunis, cohésion sociale inter-générationnelle autour du thème de l’éducation, protection et aide à l’enfance heureuse, harmonieuse, intégrée.

           •          Programmation libre en ligne (c’est une animation en soi) pour la salle de visionnage aux heures vacantes (un site est en travaux. Nous travaillons à la mise en ligne de documentaires disponibles pour ces salles et si le partenariat se fait la mise à disposition de la vidéothèque de l’éducation nationale dans le cadre d’un Partenariat avec les Centres Nationaux et Régionaux de Documentation pédagogique et de notre association d’intérêt général.

           •          Le jumelage avec une classe au Bénin, ville de Cotonou est également prévue pour la rentrée : des échanges de documentaires choisis par les enfants d’ici … penser aux autres c’est aussi de l’éducation et se rendre compte que presque tout le programme est identique sauf en histoire est un enseignement important.

Outils opérationnels 

IMG_1252Installation du lieu :

Nous tablons sur la récupération, chaque siège sera unique, le lieu qui doit être convivial, peut-être des canapés)… Pour ce faire un partenariat est envisagé avec le collectif pour une transition citoyenne qui se réunie dans toute la France le 27, septembre prochain.

Matériel nécessaire :

           •          Salle

           •          Un ordinateur

           •          Chaises

           •          Tapis de sol (prévu pour les visionnages, jeunes enfants)

           •          bureau (salle à installation modulable, bureaux légers, type pupitres)

           •          tableaux (liège, Velléda, noir)

           •          projecteur (fourni par la Direction de la jeunesse et des Sports en attendant l’achat à la sortie de l’organisation des vide greniers de cette fin d’année)

           •          lecteur DVD

           •          des cadres pour afficher ce qui se passe dans la salle (les échanges avec les enfants, les projets à venir, les retours divers, les ateliers théâtres et dates des conférences débats avec les enfants)

IMG_1248Bureautique, donner envie de participer, des outils :

           •          Blog, dédié à nous faire connaître, communication et programmation des plages horaires libre de la salle ouverte à tous les publics.

           •          Scrumblr.cal : post-it (pour les comptes rendus de réunion)

           •          Sorties de réunion : checkthis.com (un mini blog  pour chaque événement)

           •          Clés USB et clé 3G de l’association

           •          Créer nos flyer, outil interface : scribus

           •          Impression sur imprimerflyer.com

           •          Les stagiaire : embaucher en ligne : remixjobs.com

           •          Tableau d’affichage avec nom/horaires disponibles, téléphone des participants investis dans le lieu (bénévoles)

           •          Planning en ligne : ethercalc.org

           •          Outil de gestion (adhérents, cotisation, comptabilité): Dollibarr

  • Un contrat permettant de commander un Lot pour chaque écran éducatif du matériel Montessori à un tarif préférentiel pour toutes les salles si elles sont plusieurs à être intéressées.

Objectifs : Impact :

Positif :

Des rencontres : entre publics variés, autour d’un thème saint d’esprit (hors commerce, pub…)

Des débats : les sujets de l’éducations concernent tout le monde et c’est un lieu propice pour échanger des idées.

Lutte contre l’isolement : tout le monde peut participer… simplement. (programmer quelque chose sur l ‘écran aux heures vacantes.

Accès à l’éducation pour plus démunis avec des démarches organisées pour les aider à ses réinsérer. Des heures prévus pour un accueil spécifique avec pour eux une possibilité d’inscrire leurs centres d’intérêt (culturel et social) dans la programmation (tout le monde à des rêves ou des sujets favoris, l’éducation c’est pour tous).

Négatif

Système d’évaluation de notre action : un livre d’or sous titré « laissez ici vos commentaires pour l’évolution du lieu, système permettant notre évaluation soyez sincères » remplir ce livre est obligatoire pour tout le monde avant de sortir du lieu. (petit rituel qui permet en outre de s’approprier les pratiques du lieu)


Budget prévisionnel

3900 euros pour l’installation et les divers couts de matériel. Ce budget de comprends que l’installation du matériel type chaises et tasses ainsi que machine à café. Le ministère de la jeunesse et des sport proposant la mise à disposition de projecteurs.

comprenant : assurances, abonnements téléphoniques (2), internet, impression d’affiches, matériels divers, réserve financière de fonctionnement et organisation d’événements type concerts  caritatifs ou petits déjeuners débats des membres et invités d’honneurs comme des parrains …

Les recettes des évènements (6 à 10 dans l’année doivent permettre de remplir le portefeuille au fur et à mesure grâce à un petit cout de fonctionnement, sur la base du volontariat, bénévolat ou simples visiteurs curieux.)

ANNEXE :

Subventions recherchées :

           •          Organisation de vides greniers dont les revenus de l’action doivent financer le matériel

           •          Fondations

           •          Mécénat d’entreprises

Association pilote, Paris 

Laure DUPUY, Présidente Contact +33623035533

Porteur du projet en France et en Europe

Daria Jezierska

Trésorière de l’association pilote 17ème Paris

EXTENSION

 

 

L’ÉCRAN ÉDUCATIF DES RUES

Analyse du territoire

 

Définition du projet à l’origine, histoire du projet

et d’un potentiel devenir avec toutes les variantes qui nous sont venues pour différents cadres et collectivités avec les variables propres à chaque domaine du territoire pour celles auxquelles nous avons pensées : 

SOMMAIRE

I. Deux typologies : Les salles et les écrans muraux : Un support, mobilier urbain, qui s’intègre dans le paysage urbain et dans la vie des quartiers

           •          Les conditions d’une bonne intégration

           •          Les atouts du projet : simplicité, développement de plusieurs branches d’activités, programmation et cohésion sociale, nouveau support moderne de communication, développement malléable

           •          Les difficultés : sonores, programmation importante (365j par an et 18h/24), dégradation, protection coffrage et entretien …

II. Thèmes proposés …

           •          L’écran éducatif des rues.

           •          L’écran durable.

           •          Les nouveaux métiers.

           •          La nature mode d’emploi.

           •          Portail entre éducation et emplois, du cours au métier.

           •          Des home cinémas de quartier  (porteurs de cohésion) pour les documentaires et séries… petites salles en entrée libre (voir partenaires : Gaumont … ou JCDecaux).

IMG_1254III. Le bénéfice d’une telle entreprise.

           •          Les associations de quartier (une par écran) qui vont être responsables de la programmation pour leur écran verront naitre une cohésion sociale autour de cette animation de quartier. Les documentaires en libre service des répertoires de l’éducation nationale peuvent attirer tous les publics et créer un lieu de rencontre autour de la programmation et autour de la diffusion.

           •          réponse à un besoin de proximité, quartier village. Les voisins

IV. L’écran éducatif des rues

           •          Définition : l’écran éducatif des rues, qu’est-ce que c’est ?

           •          Atouts du thème éducatif. Promotion de l’éducation en zones sensibles.  Support des valeurs républicaines.

           •          Inconvénient principal du thème éducatif : sujet limité à un mode de communication qui a un avenir plus vaste que l’éducation.

           •          Partenaires privilégiés (ministère de l’éducation nationale, la culture  …)

           •          Sites les plus pertinents pour accueillir de tels écrans

           •          Exemple de programmation (voir partenaires : la Villette, médiathèque et INSEE…)

           •          L’impact possible d’un tel support de communication

  V. L’écran municipal, « Quoi de neuf dans votre ville »

           •          Guide touristique et événementiel

           •          Promotion des actions de la ville

           •          Support de communication privilégié pour les villes

           •          Un écran qui fait la promotion des  priorités locales (éducation, formation, culture, tourisme)

  VI. Sites pilotes

           •          Nécessité de plusieurs sites, chaque partenaire privilégie un domaine de communication et ils peuvent chacun suivre un écran. Plusieurs situations et localisations différentes en France. Ces sites doivent être accessibles, pertinents et propres à être observés ; choisis parce qu’ils seront parlant. Par exemple un dans la capitale, un en proche banlieue, et un en province éloignée par exemple.

           •          Site 1. Quartiers défavorisé et promotion de l’éducation (éducation nationale)

           •          Site 2. Quartier animé et lancement d’un écran de ville type « quoi de neuf en ce moment dans ma ville » événements, conférences concerts, expos, visites guidées. (mairie pilote)

           •          Site 3. Portail entre éducation et emploi, guidé par pôle emploi et les ASSEDIC en centre ville de grande ville.

           •          Site 4 : l’Ecran nature peut-être à proximité d’un parc prestigieux puisqu’il en est aujourd’hui dans les Hauts de Seine qui sont parfaitement « naturel » ou indigènes, et qui portent ce type de politique de revalorisation de l’environnement.

VII. Conduite à tenir, réunion, objectifs

           •          première réunions

           •          objectifs.

VIII. Innovation

IX. l’écran éducatif des rues, lancement du projet

           •          Organisation

           •          équipe et communication entre les intervenants

           •          L’association… (voisins solidaire?)

X. Budget

I. Mobilier urbain

       IMG_1253  •        Les conditions d’une bonne intégration

Les salles mises à disposition des quartier pour une libre programmation doivent être bien entretenue et un ou plusieurs bénévoles doivent assurer l’accueil des différents groupes et participant. L’opération de lancement prévoit la concertation des maisons de retraites dans le cadre d’invitation des écoles primaires à des horaires où les retraité auront programmé des contenus propres à favoriser les échanges inter-générations. Dans les quartier dit « sensibles, les salles seraient éventuellement de nature anxiogène et les écrans peuvent être prévu dans des espaces publics approprié comme un matériel de rues avec des écran à un cout relativement élevé notamment compte tenu du vandalisme et du coffrage nécessaire de faite dans le cadre décrit ci-après. Néanmoins il est notable que les écrans muraux ne sont pas prioritaire pour le lancement et que des salles dédié à un mieux vivre ensemble seront le fer lancement de cette opérations à but non lucratif dans le cadre associatif dédié à la rencontre autour d’un thème saint d’esprit en dehors des rapports commerciaux et publicitaires.

Brève, quartiers sensibles : Le matériel étant toujours sujet au vandalisme. Les écrans doivent être coffrés et assortis d’une alarme. Ces écrans ne sont donc pas tactiles et répondent à un critère de strict visionnage. Le son est tolérable à une certaine distance des habitations et les murs cibles ne sont donc pas des murs d’immeubles ou pas surplombés d’habitations. Un certain métrage minimum est à prévoir. Cependant les quartiers défavorisés étant des cibles prioritaires, les murs libres sont légions et rempliront mieux l’espace que graffitis ou autres décorations sauvages. Un regard très prometteur pour une population jeune des rues.

   2. Les atouts d’un tel projet : simplicité, développement de plusieurs branches d’activités, programmation et cohésion sociale, un nouveau support moderne de communication, un développement malléable

L’écran lui-même est défini en tant que mobilier urbain. Il n’a pas d’autres attributions initiales et peut être assimilé à un nouveau mode de diffusion ou de communication en s’intégrant dans le paysage urbain selon les priorités de la ville. Cet outil est malléable et soumis aux discussions municipales quant à son contenu, il peut être relié aux médiathèques locales ou aux fonds documentaires de l’éducation nationale (voir partenaires potentiels : le CNDP, Centre National de Documentation Pédagogique, les CRDP, Centres Régionaux… Une programmation importante (365j par an et 18h/24) est à anticiper, elle participera à une relance des productions adaptés pour un tel support et pourrai dans ce sens participer à une certaine relance dans le secteur. Il semble plausible que ces écrans éducatifs pourraient participer au soutien des jeunes en difficulté ainsi que des populations les plus démunies. Ces cours en libre audition peuvent remplir un rôle de catalyseur vers les secteurs de marché demandeurs d’emplois, promouvoir l’éducation et renseigner sur les filières et leurs débouchés tout en ayant une perméabilité et une disponibilité pour les bandes d’annonce des écoles spécialisées locales et formatrices.

3. dégradation, protection coffrage et entretiens, …

Le coût de maintenance est à peu près le seul coût à prévoir pour les salles,, néanmoins pour les écrans des quartiers dit « dur » où les salles seraient anxiogènes, après une installation sécurisée comprise dans l’enveloppe de mise en place (cette enveloppe à titre indicatif s’élèvera d’après étude de marché à 150 000 euros pour l’écran et son coffrage). Une alarme semble suffisamment dissuasive contre la casse mais la maintenance et la rénovation peuvent et doivent apparaitre dans les coûts sur le moyen et le long terme. Ces chiffres ne sont pas encore arrêtés et feront l’objet d’une étude spécifique.

DVD-pochette-il-était-une-fois-la-terreII. Thèmes proposés …

Tout d’abord, il convient de préciser que ces thèmes ne sont pas antinomiques et peuvent se rencontrer sur un même écran, et qu’ils ne sont donnés qu’à titre indicatif de ce que pourrait être une programmation. Une préférence nous lie cependant à l’écran dit « éducatif » des rues car en effet, les valeur représentées par l’éducation nationale ont été pensées pendant des siècles et relèvent à elles seules d’une garantie de non-propagande, de service public et de projection sur l’avenir. Une autre branche propose un lieu de rencontre avec la ville d’accueil qui semble également parfaitement cohérent avec ce nouveau mode de communication, nous l’avons appelé le « quoi de neuf dans votre ville » lieu d’affichage animé des événements culturels et événementiels, disposé à rendre service à l’annonceur, aussi bien qu’aux touristes, aux résidents et aux municipalités soucieuses de communiquer pour une plus grande vitalité les lieux, dates et événement locaux.

   1. L’écran éducatif des rues.

L’écran éducatif des rues est un concept à lui seul, il déploie un arsenal de possibilités et de potentiels. Pour résumer, il s’agirait de faire un mur éducatif, sensibilisant les populations déscolarisées sur des éléments de programmes qui pourrait les reconduire vers l’éducation. Ce mur pourrait également permettre de s’orienter en ayant connaissance des chapitres professionnalisant. Mais encore, cet écran éducatif étant dans les rues ou offert aux quartiers il peut permettre aux plus démunis d’accéder à une formation continue et diplômant. Il diffusera les contenus de l’enseignement général et sera guidé ou porté par des institutions telles que l’éducation nationale ou le ministère de la culture et soutenus par les associations locales spécifiques pour chaque problématique et horaire d’accueil.

La nature de l’écran éducatif est de permettre aux quartiers d’autogéré la programmation dans un cadre éducatif via un site internet dédié à chaque écran. Ainsi chaque citoyen, et c’est une animation saine (qui lutte également contre l’isolement) peut programmer ce qu’il veut dans les documentaires de l’éducation nationale mis à disposition en consultant le programme des horaires de diffusion sur le site et en pouvant programmer aux horaire vacantes. Cette programmation autogérée des quartiers doit cependant être accompagnée par les groupes de bénévoles de chaque association de quartier lié à chaque écran. On aura ici un lieu de rencontre autour de l’éducation, alternative au seul bar où les gens peuvent sortir pour se retrouver.


2. L’écran durable.

Une autre version de l’écran des rues permet d’établir un lien direct entre les priorités nationales et les diffusions des écrans. Ainsi l’écran durable pourrait porter les programmes et les initiatives nationales et locales du développement. Ces contours restent flous et devraient être pensés en discussions concertées (entreprises, professeurs professionnels du développement durable).

   3. Les nouveaux métiers.

Cette grille de programmation prévoit l’écran comme un portail, entre éducation et métiers d’avenir, les passerelles, ce qui se cache derrière un cours. Les métiers représentés seront toujours des métiers réclamés par le marché local et national et permettraient à certains sites accueillant un tel support d’être particulièrement réactifs sur le marché du travail. Ici d’autres partenaires pourraient intervenir (Pôle emploi … des supports viendront en permanence informer et des postes à pourvoir et des demandes du marché. Un tel concept ne suffirait probablement pas à remplir 365 jours de diffusion par an mais pourrait s’insérer aisément dans d’autres programmations à des horaires fixes.

   4. La nature mode d’emploi.

Cet écran est particulièrement ludique et répond lui aussi à quelques nécessités éprouvées aujourd’hui, portail entre ville et nature. C’est la reconnaissance de la nature qui est proposée ici : sur ces écrans on suit des cours sur les plantes, leurs vertus ce à quoi on les reconnait. L’arsenal des connaissances nécessaires et perdu par nos bon citoyens urbains éloignés depuis quelques génération des sols et des fourrés qui appartenaient encore au savoir ancestral de leurs grands-parents et qui se perd aujourd’hui.

   5. Portail entre éducation et emplois, du cours au métier

Ici on recueille deux thèmes déjà abordés. L’écran éducatif et les nouveaux métiers sur un même écran, l’esprit d’un tel support serait fixé d’avantage sur les liens entre cours et pratique et s’efforcerait de donner à l’éducation nationale un visage pratique. Un lieu de rencontre entre la matière et les métiers. Ce développement contiendra tous les menus détails décrits dans les deux programmes.

   6. Des home cinémas de quartier  (porteurs de cohésion) pour les documentaires et séries… petites salles en entrée libre (voir partenaires : Gaumont, ou JCDecaux).

Une adaptation des écrans pourrait convenir dans les quartier les moins anxiogènes, en s’installant dans des salles de quartier à entrée libre et disponibles également en soirée pour les diffusions. Ainsi, porteurs de l’ambiance ou de la rencontre conviviale dans les rues, sous couvert de petites salles pignon sur rues, ces écrans, ou plutôt home cinémas de quartiers pourraient intéresser d’autres partenaires (Gaumont ou autre). Ces écrans serviraient une cohésion sociale, lieu de rencontre et d’échange ou l’on peut s’assoir en compagnie de ses voisins.

main_smiley sourire-enfant-indienne-fille Un-sourire-eclatant-pour-l-eternel-celibataire_portrait_w674III. Les bénéfices d’une telle entreprise

   1. Les associations de quartier

Chaque écran doit être soumis à la bonne gestion des programmations par une association de rue qui s’intéresse et coopère pour programmer les différents documentaires qu’elles auront choisis pour leur rue. Ce projet doit être relayé localement et ainsi connaitre son plein potentiel notamment pour la cohésion sociale et le lien entre les attentes d’un quartier et les diffusions programmées. Le concept a déjà ses amateurs et plusieurs mairies sont déjà intéressées pour  intégrer et accueillir un écran.

   2. Réponse à un besoin de proximité, quartier village. Les voisins

Les voisins des quartiers connaissent déjà la fête des voisins et le besoin réel a rencontré l’enthousiasme car c’est un apport en bien vivre dans son voisinage que d’avoir des lieux de rencontre et de partage. Ces lieux de discussions sont à ce niveau un prétexte pour se rencontrer et se connaître. Décider ensemble les programmation et venir y assister parfois en famille c’est un plus pour chaque quartier concerné. Un apport de la Ville pour le mieux vivre ensemble, avec un sujet de rencontre saint et sans danger. L’éducation est peut-être le thème le mieux partagé, sujet d’intérêt de chaque foyer où il y a des enfants… un lieu pour les familles et pour les voisins.

db688bea22e416b57330d9f91dbc4071IV. L’écran éducatif des rues

   1. Définition : l’écran éducatif des rues, qu’est-ce que c’est ?

Comme indiqué plus haut, l’écran éducatif des rues c’est d’abord un concept à lui seul qui déploie un arsenal de possibilités et de potentiels. Pour résumer, il s’agirait de réaliser un mur éducatif, sensibilisant les populations déscolarisées, une enseigne de l’éducation. Il peut permettre aux plus démunis d’accéder à une formation. Il diffusera les contenus de l’enseignement général et sera guidé ou porté par des institutions telles que l’éducation nationale ou ministère de la culture. Il est également un facteur de cohésion sociale.

   2. Atouts du thème éducatif. Promotion de l’éducation nationale en zones sensibles. Support des valeurs républicaines

Que porte l’enseignement général ? Un complexe recueil de toutes les valeurs de la république dans le cadre de la formation des jeunes générations, qui fera d’eux des citoyens et des professionnels aguerris. Ces mêmes valeurs doivent être transmises aux citoyens des villes, démunis, immigrants ou simplement sortis trop jeunes de l’enseignement.

Les valeurs de l’enseignement général sont cernées, pensées et repensées depuis des siècles et forment un cadre suffisamment clair pour que les différentes propagandes politiques ou simplement publicitaires en soit éloignées.

   3. Inconvénients principal du thème éducatif : limite du sujet circoncit à un mode de communication qui a un avenir plus vaste que l’éducation.

Une évidence : l’écran est un nouvel outil de communication qui ne peut se limiter à l’éducation. Ces limites relèvent de la fantastique aventure de la télécommunication, et beaucoup d’autres portes s’ouvrent avec un tel support. La liste des programmes est longue et peut évidemment aborder bien des thèmes non-encore évoqués mais tout aussi ludiques et pertinents. Cet éventail ne cessera de grandir et ce document ne peut aborder tous les profils susceptibles de prendre part à l’écran de ma rue.

   4. Partenaires particuliers pour un écran éducatif (ministère de l’éducation nationale, la culture  …)

Il est probable que l’usage d’un écran éducatif des rues tel que décrit dans la programmation intéresse les ministères de l’éducation  nationale, de la culture. Ces dépositaires de l’enseignement et des communications pertinentes sur leurs sujets peuvent ajouter au devenir de l’entreprise des “écrans de ma rue”.

   5. Sites les plus pertinents pour accueillir de tels écrans

Les quartiers les moins favorisés de ces villes seront ciblées pour les écrans dits « éducatifs ». Alors qu’au contraire ce seront les quartiers les plus vivants et les plus animés qui pourront accueillir les écrans à thème : « quoi de neuf dans votre ville ? » voire les quartiers les plus touristiques.

   6. Exemple de programmation (voir partenaires : la Villette, médiathèque et CNDP, Centre National de Documentation Pédagogique …)

La démarche devrait trouver dans l’arsenal existant les documentaires dont le sujet corresponde en même temps à une vraie charte de qualité.

   7. L’impact possible d’un tel support de communication

Cet écran peut être le premier d’une longue série dont la technologie améliorera le devenir. Aussi ces écrans devraient-ils faire l’objet d’une attention soutenue quand aux pilotes (ville majeures, centres ville … ) et autres points d’impacts pertinent sur le territoire.

V. L’écran municipal, « Quoi de neuf dans votre ville »

   1. Guide touristique et événementiel

Ce support peut avoir une utilisation polyvalente et servir aussi bien en terme de diffusion événementiel destiné aux tourisme qu’aux activités de quartier. Ce support ne doit en aucun cas promouvoir de publicité liées à la consommation mais peut servir de support de communication aux municipalités.

   2. Promotion des actions de la ville

Ce faisant, le support de l’écran éducatif des rues reste dans sa fonction première : servir la ville et ses habitants et créer des liens à travers les activités proposées et plébiscités. Le cadre de l’écran peut et doit revêtir toute forme de promotion de la rencontre sociale.

    3. Support de communication privilégié pour les villes

La définition de cet écran rentre dans le cadre des actions dédiées au mieux vivre ensemble. Les villes peuvent ici communiquer dans un cadre parallèle à celui des mairies d’arrondissement et des communes, elles adapteront toute forme de communication visuelle à ces salles de rencontre et de partage aux priorités locale dans le cadre des associations de quartiers et des rencontres communales. Cet écran a une dimension urbaine au même titre que les parcs et jardins, et s’inscrit dans le paysage urbain pour une plus grande cohésion sociale avec un nouvel outil de communication.

 VI. Sites pilotes

D’ores et déjà une proposition nous a été faite de rencontrer le président de l’association des maires de France sur ce sujet et les  mairies volontaires seront toutes les bienvenues.

Pour l’aspect strictement pratique de l’étude de l’écran test, il serait pertinent d’installer cet écran dans le 17ème art de Paris car l’association de la fête des voisins est à proximité ainsi que moi-même porteur de projet résidant dans le 17ème art. Ainsi pour être disponible pour participer pleinement aux concertations et diffusions cet aspect est à prendre en compte.

Plusieurs villes se montrent déjà intéressées et la participation de l’éducation nationale par le biais d’un partenariat qui permettra la mise à disposition des documentaires de CNDP et CRDP doit permettre l’ouverture des premières salles dès la première année.

 


VII. Conduite à tenir, réunion, objectifs

1. Compte rendu de réunions

Ont participé aux discussions : Jérôme KARDOS (recherche en éducation), Tanguy COLAS DES FRANCS (expert du paysage et du développement durable), Michèle EL SAIR (paysagiste conseil)

           •          Jérôme KARDOS – Laure DUPUY : conception du plan proposé

           •          Tanguy COLAS DES FRANCS – Michèle EL SAIR- et Laure DUPUY (rapporteur)

Aiguillage sur le chemin à suivre :

Réunir un modèle type d’équipe compétente sur un site donné, avec en charge du projet : des associations de quartier, des paysagistes en charge du quartier et autres compétences réunies, voire enseignants ou passionnés, sur le thème du lieu, ou mur à utiliser.

Sur la conception : la conception de l’Ecran Educatif doit se faire comme un Outil mis à disposition

Il semble préférable de continuer à travailler sur les contenus, et développer des partenariats avec Arte, la Cinquième, et toutes les chaînes éducatives, francophones.

La progression du projet exige de consulter et de réunir dans des synthèses les travaux existants  : Quels programmes/Quelle éducation

Relever les contre-exemples d’écrans publics diffusant en boucles certains sujets, peut-être déjà trop répétitifs.

Le phasage est à développer à raison d’une première orientation sur la thématique de l’Education au Développement durable, sur 3 ans

De nouveaux partenariats sont envisagés : Greenpeace ou Biotope par exemple, Arte comme déjà mentionné plus haut.

Il convient également de communiquer avec des municipalités pouvant être intéressées par l’action et de déterminer avec elles si ce projet doit être un lieu collégial ou pas.

Il faudra aussi prévoir de préparer une rencontre de partenaires et spécialistes à la sortie de laquelle viendra un travail de mise à plats des contenus des débats qui devront donner les grands axes des travaux à venir et apporter des réponses aux questions qui nécessitent des prises de décisions concertées.

2. Objectifs :

Il est probable que ce support aura un temps de prise de deux à trois ans durant lesquels les populations locales vont s’approprier ces lieux et participer à sa mise en action efficace. Mais il est également probable que ces lieux de rencontre réduiront les solitudes et le nombre des personnes isolées.

Les principaux objectifs sont : une cohésion sociale autour des jeunes, des plus démunis et des secteurs de métier locaux demandeur de communiquer localement. Une participation des écoles et des parents d’élèves, peut-être une activité soutenue en concertation avec les villes autour du tourisme et des enjeux locaux.

VIII.  Innovation

            Le présent projet propose de mettre à disposition du public un écran type home cinéma pour petites salles (magasins réaménagés) dans les quartiers, et des écrans encastrés dans le mur de certaines rues où la typologie sociale pourrait contribuer à faire des salles des lieux anxiogènes.

Deux types d’écrans, l’un au mur destiné au visionnage, l’autre tactile dans une acception futuriste qui viendra plus tard, de petite taille posé à côté permettant de vérifier la programmation, les plages horaires disponibles pour les programmations et la bibliothèque ou répertoire des documentaires mis à disposition pour la période.

Le potentiel des écrans déjà inclus dans le paysage urbain n’est pas exploité. On y trouve des écrans publicitaires dépourvus de sens. Notre projet veut créer un types d’écrans nouveaux, qui va avoir un sujet (l’éducation et les services publics) pour thème de rencontre et d’échange; Les écrans des villes doivent se développer et trouver une utilité, cette approche est novatrice et a un potentiel de développement énorme et sur un très long terme. La qualité des écrans qui devront par la suite devenir spécifiques à cette utilisation viendra appuyer le projet de l’ ”écran éducatif des rues” dans un deuxième temps.

La phase de maturation du projet doit être appuyée par l’implantation réussie de plusieurs écrans pilotes.

IX. l’écran éducatif des rues, lancement du projet

Une mairie cible pour lancer le projet est en cours de consultation :

La mairie du 17ème à Paris, qui présente l’avantage d’être physiquement proche de l’équipe et de pouvoir de fait être l’objet d’une participation directe dans l’association de quartier (avec les parents d’élèves et leurs représentants des écoles primaires avoisinantes (écoles Laugier, Renaude et Fourcroy et peut être l’école bilingue qui sont toutes dans le rayon immédiat de l’emplacement visé, rue de Courcelles).

Les Mairies de Suresnes et de Millau ont manifesté leur interêt et la grille de lecture et l’ouverture de ce projet permet d’espérer que de nombreuses villes voudront s’approprier ce concept pour leurs propres quartiers et leurs besoins.

X. Budget

                                                                                                                            

L’ÉCRAN qui peut être en faite un projecteur mis à disposition par le ministère de la jeunesse et des sports (à négocier) ou un cout pouvant aller  de 1000 à 2000 euros

50 chaises                                                                                                                   345,00  €

une machine à café, des tasses, un bureau, des tableau et toute sorte de petit matériel décrits plus loin doivent être compté comme investissement initial des villes désireuses d’accueillir un écran éducatif ainsi que la mise à disposition d’une salle qui dans le meilleur des cas sera accueillante et chaleureuse.

10 000€ environ devraient suffire à agrémenter ce cadre d’accueil de tout les artifices propre à l’accueil des différents participant et les citoyens des quartier. Il faut bien garder en tête que étant une alternative aux bars pour se retrouver il est important que des cafés puissent être servis et que l’ambiance soit chaleureuse.

A ces différents couts qui varieront selon les villes et les pays demandeur devra s’ajouter le cout d’un salarié délégués par la ville pour tenir le lieu comme on tient une boutique qui pour le mieux devrait avoir pignon sur rue, ce salarié de l’association devra notamment recevoir les groupes scolaires, coordonné les visiteurs et gérer l’entretiens et la sécurité du lieu.

 

Prévoir la participation des villes pour la mise à disposition d’une enseigne ou d’un bail.

IMG_0386 

STATUTS DE L’ASSOCIATION

L’ÉCRAN ÉDUCATIF DES RUES

…………………………………………………

Article 1

Il est fondé, entre les adhérents appelés membres fondateurs aux présents statuts, une association régie par la loi du 1er juillet 1901 et le décret du 16 août 1901, ayant pour dénomination :

Les membres fondateurs sont:

Dupuy Laure, française, 78, rue Pierre Demours, 75017 Paris, France, paysagiste DPLG

Jezierska Daria, française, 12, avenue Cappechi, 93700 Drancy, comptable

  

Article 2

Cette association a pour but:

Un espace d’échange autour du thème de l’éducation.

Pour défendre le but de l’association, le bureau prévu à l’article10 ci-dessous, pourra désigner un de ses membres pour agir en justice devant les juridictions judiciaires ou administratives par délibération spéciale produite en quatre exemplaires. Le bureau pourra désigner un conseil pour assister le membre du bureau désigné. Tous deux devront être porteur d’un original des présents et de la délibération spéciale du bureau les désignant.

Article 3

Durée

Sa durée est indéterminée mais ses membres peuvent démissionner à tout moment et clôturer comme bon leur semble l’association.

Article 4

Siège social

Le siège est fixé en la commune de Paris pourra être transféré par simple décision du conseil d’administration ; la ratification par l’assemblée générale sera nécessaire.

 

Article 5

L’association se compose de :

  1. a.            membres d’honneurs
  2. b.           membres bienfaiteurs
  3. c.            membres actifs ou adhérents
  4. d.           membres fondateurs

Article 6

Admission

Pour être membre de l’association, il faut être agréé par le bureau qui statue, lors de chacune de ses réunions, sur les demandes d’admission présentées.

Article 7

Les Membres

Sont membres d’honneur, ceux qui ont rendu des services signalés à l’association ; ils peuvent être dispensés de cotisations.
Sont membres bienfaiteurs, les personnes qui versent un droit d’entrée de 17 euros et une cotisation annuelle de 150 euros fixée chaque année par l’assemblée générale.
Sont membres actifs ceux qui ont pris l’engagement de verser annuellement une somme de 77 euros.

Article 8

Radiations

La qualité de membre se perd par:

  1. a.            La démission
  2. b.           Le décès
  3. c.            La radiation prononcée par le conseil d’administration pour non-paiement de la cotisation
  4. d.           La radiation peut être prononcée pour motif grave, l’intéressé doit alors être invité par lettre recommandée avec accusé de réception dont la première présentation doit avoir lieu au moins quinze jours avant la réunion, à se présenter devant le comité pour fournir des explications aux reproches portés contre lui. Après ses explications, les membres du comité devront voter. L’exclusion ne pourra être prononcée que sur l’unanimité des votes des membres du comité. 

Article 9

Les ressources de l’association comprennent :

  1. 1.            Le montant des droits d’entrée et des cotisations ;
  2. 2.            Les subventions de l’État, des régions, des départements et des communes ;
  3. 3.            toutes ressources autorisées par la loi.
  4. 4.            Les membres du bureau pourront organiser des actions,  manifestations, expositions et vide grenier pour obtenir des ressources nécessaires à leur activité.

Article 10

Comité

L’association est dirigée par un comité composé d’au moins 2 membres, élus pour une année par l’assemblée générale. Les membres sont rééligibles.
Le comité choisit parmi ses membres, au scrutin secret, un bureau composé de :

  1. 1.            Un président 
  2. 2.            Un ou plusieurs vice-président
  3. 3.            Un secrétaire, un secrétaire adjoint
  4. 4.            Un trésorier, un trésorier adjoint
  5. 5.            Un ou plusieurs conseillers

L’assemblée constitutive s’est réunie le 31 décembre à Paris et a élu un comité qui s’est immédiatement réuni pour élire, dans les conditions prévues à l’article 13 des présents, les premiers membres du bureau.

En cas de vacances, le comité pourvoit provisoirement au remplacement de ses membres. Il est procédé à leur remplacement définitif par la plus prochaine assemblée générale. Les pouvoirs des membres ainsi élus prennent fin à l’époque où devrait normalement expirer le mandat des membres remplacés.

Article 11

Réunion du comité

Le comité se réunit une fois au moins tous les ans, sur convocation du président, ou sur la demande du quart de ses membres. Pour être valable les décisions du Comité doivent être prises par au moins les trois quarts de ses membres. Les décisions sont prises à la majorité des voix ; en cas de partage, la voix du président est prépondérante. 
Tout membre du comité qui, sans excuse, n’aura pas assisté à trois réunions consécutives, pourra être considéré comme démissionnaire. 
Nul ne peut faire partie du comité s’il n’est pas majeur. (Sont membres de droit du comité, les personnes qui représentent l’association auprès de des mairies concernées par chaque écran éducatif et les responsables désignés de chaque écran éducatif)

Article 12

Assemblée générale ordinaire

L’assemblée générale ordinaire comprend tous les membres de l’association à quelque titre qu’ils soient affiliés.

L’assemblée générale ordinaire se réunit chaque année au mois de : 
Quinze jours au moins avant la date fixée, les membres de l’association sont convoqués par les soins du secrétaire. 
L’ordre du jour est indiqué sur les convocations. 
Le président, assisté des membres du bureau préside l’assemblée et expose la situation morale de l’association. 
Le trésorier rend compte de sa gestion et soumet le bilan à l’approbation de l’assemblée. 
Il est procédé, après épuisement de l’ordre du jour, au remplacement, au scrutin secret, des membres du comité sortant. Les membres sortant sont rééligibles.

Ne devront être traités, lors de l’assemblée générale, que les questions soumises à l’ordre du jour. 
Les décisions ne seront valablement prises en assemblée générale ordinaire que si elles sont acceptées à la majorité des membres présents ou représentés ayant droit de vote.
Chaque électeur ne peut disposer de plus de deux pouvoirs et il ne peut y avoir plus d’un dixième de vote par correspondance. 
En cas de litige, la voix du Président est prépondérante. 
Pour pouvoir siéger, une assemblée générale doit comporter au moins 30% de ses membres présents ou représentés. 
Si, sur une première convocation, l’assemblée n’a pas pu réunir ce nombre de sociétaires, il peut être convoqué à quinze jours au moins d’intervalle une deuxième assemblée générale qui délibère valablement, quelque soit le nombre des membres présents ou représentés mais seulement à la majorité des deux tiers des membres présents. 
Au moment du vote, les membres présents ne peuvent remplacer par procuration que deux membres actifs maximum.

Article 13

Élection du bureau

Le comité élu par l’assemblée générale ordinaire, clôt la dite assemblée, se réunit et vote pour choisir les nouveaux membres du bureau. Les membres de l’association non élus au comité peuvent assister à cette élection sans droit de vote. L’élection du bureau a lieu au scrutin secret. Les membres sortants sont rééligibles. Une fois les membres du bureau élus, le Président fixe la date de première réunion du bureau.

 

Article 14

Assemblée générale extraordinaire

Si besoin est, ou sur la demande de la moitié plus un des membres inscrits, le président peut convoquer une assemblée générale extraordinaire, suivant les formalités prévues par l’article 10.

Article 15

Règlement intérieur

Un règlement intérieur peut être établi par le comité qui le fait alors approuver par l’assemblée générale.

Ce règlement éventuel est destiné à fixer les divers points non prévus par les statuts, notamment ceux qui ont trait à l’administration interne de l’association.

Article 16

Dissolution

En cas de dissolution prononcée par les deux tiers au moins des membres présents à l’assemblée générale, un ou plusieurs liquidateurs sont nommés par celle-ci et l’actif, s’il y a lieu, est dévolu conformément à l’article 9 de la loi du 1er juillet 1901 et au décret du 16 août 1901.
Les présents statuts ont été approuvés par l’assemblée constitutive du

Fait en sept exemplaires originaux à Paris, le 31 décembre 2013

Le président :                                        Le trésorier :

Laure Dupuy                                             Daria Jezierska

NB : ce projet nécessite un partenariat avec les centre de documentations pédagogiques nationaux des pays voulant s’approprier le concept. Pour l’accès via un site internet associé à chaque écran aux documentaires de l’éducation nationale. La demande française a été formulée sur ce model et peut être reproduite dans ces termes :

EN COURS :10274279_10202514790725637_990259904499315330_n 1890586_10152393700604171_5660067210458878148_o

                                                                      Cabinet du Ministre

Monsieur,

Je viens vers vous pour solliciter un rendez-vous dans le cadre de mon projet associatif qui n’implique pas que mon association (pilote) mais un projet national (fédération d’associations) ayant pour objectif de lutter contre l’isolement, et de promouvoir l’accès à l’éducation pour tous, la transmission inter-générations et  créer une cohésion sociale dans les quartiers autour du thème éducatif.

Ce projet se décline de la façon suivante : il s’agit de proposer cet écran éducatif aux mairies désireuses d’y participer moyennant la mise à disposition dans certains quartiers d’une salle,  ouverte dès le petit déjeuner jusqu’à l’heure de fermeture des bars. Cette salle constituera une alternative pour se retrouver autour d’un café ou d’une collation pour des visionnages de documentaires éducatifs, dans le cadre d’un partenariat avec les CNDP et CRDP, permettant ainsi à tous les citoyens d’un quartier de programmer eux même leur écran selon les besoins et les ambitions des adultes pour l’éducation et la formation de leur jeunesse.

L’opération de lancement doit concerner également les maisons de retraites en leur proposant de programmer cet écran dans leurs locaux au moyen de documentaires destinés à des classes de primaires (en concertation avec les associations de parents d’élève locaux), afin d’inviter les élèves à la sortie de classes. Ce sera l’occasion d’une animation pour les retraités et d’un rapprochement inter-générationnel, facteur de bien vivre.

Par la suite, un site internet doit permettre à tous les habitants du quartier concerné de programmer ce qu’ils veulent dans les documentaires de l’éducation nationale aux horaires vacants. Ainsi tous les citoyens pourront participer à l’éducation, ce qui est un thème riche de possibilités et porteur d’avenir. Ces rencontres et l’ambiance non formelle autour d’un écran mis à disposition des quartiers doivent procurer une alternative aux sorties dans les bar, et générer de la cohésion sociale, créant un lieu de retrouvailles novateur et autogéré par les bénévoles des villes (une association devant être associée dans chaque quartier à chaque écran, pour en assurer la sécurité et l’entretien, tout en se relayant à l’accueil des quartiers).

Ce lieu offre un grand nombre de possibilités que j’évoque dans la plaquette que je vous joins, dont je vous invite à bien vouloir prendre connaissance.

Plusieurs mairies ont déjà manifesté leur intérêt pour ce projet naissant, pour lequel nous avons déjà mené un très gros travail d’anticipation ; les statuts de l’association viennent seulement d’être déposés, et nous attendons d’un jour à l’autre sa publication au journal officiel.

Je me permets de solliciter un rendez-vous pour évoquer avec vous dans quelle mesure le Ministère de l’éducation nationale peut parrainer ce projet destiné à être adopté par toutes les mairies intéressées, et formaliser les démarches à entreprendre pour avoir toutes les autorisations et surtout le partenariat des CNDP et CRDP qui dépendent de vous.

En espérant que vous aurez le temps et la possibilité de me recevoir, je me tiens à votre disposition,

Et vous prie d’agréer, Monsieur l’expression de mes sentiments distingués.

Laure Dupuy

Porteur du projet : l’écran éducatif des rues

NOTE IMPORTANTE : L’écran éducatif des rues est jumelé à l’association Tohovia International et prévoit un parrainage et l’implantations d’écrans éducatifs au Bénin dès 2015, soutient actif : Laure Dupuy, présidente de l’association L’écran éducatif pilote est aussi vice-présidente de l’association TOHOVIA internationale http://www.tohovia.org  

Avec la participation de 

Laure Dupuy

Jérome Kardos

Atanase Périfan

Daria Jezierska

Alors que l’écran éducatif était au stade de sa maturation, un certains nombre de rencontres au fil des formations dispensées à Paris au Carrefour Associatif Parisien, virent les oeuvres entreprises s’enrichir d’un bel entraide, les partenariat humanitaires initiaux d’entraide sont présentés ici

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